« Pour tous ceux qui sont
morts pour rien »
Rien ne m’attriste, rien ne
m’effraie, rien ne m’étonne plus !
La sentence est la même ou
presque pour tout le monde. Les criminels comme les innocents. Tout le monde
périt dans la même incertitude, le même enfer !
A travers les rues défoncées de
la ville mon cœur chavire et respire l’odeur macabre des morts et des vivants.